Resté seul du bon coté, Ekodas souri. La Porte l'appelait. Cela faisait si longtemps, si
longtemps qu'il ne l'avait pas franchie.La Porte le reconnaissait. Pas étonnant, il
l'avait franchie tant de fois. Chez les Grands Prêtres, c'était lui qui était chargé de la
franchir, soit pour récupérer des évadés, soit pour y chercher de nouvelles troupes
pour Lloth.Derrière la Porte, il avait ses marques.Et derrière la Porte, il avait ce qu'on
pourrai appeler des amis maintenant. Il avait maintes fois permis à des âmes de
passer, pour se réfugier dans un monde certes noir, mais qui valait bien mieux leur
ancien monde. Avec un sourire, il franchit la Porte.
Depuis le temps, rien n'avait changé. Une immense plaine rocailleuse, un ciel noir, pas
de vent, et d'étranges créatures passant. Aucune ne faisait attention aux nouveaux
arrivants. Et aufond, si loin qu'elle semblait être un mirage, une tour. 121 niveaux
officiels. Là où logeait toute la ''monarchie'' démoniaque des Limbes.Passage obligé
pour atteindre les terres situées derrière.
L'aura avait disparu. Leur cible avait sans aucun doute sentit leur arrivée et caché sa
présence. Une immense forme s'approchait d'eux. Ekodas eut un sourire amusé.
C'était un dragon, un dragon squelette monté par un cavalier dont l'aura démentait
son apparence humaine. Il s'agissait d'un démon dont la puissance , pourtant assez
impressionnante, n'était rien ici. Il n'était qu'un ancien messager de la Toute Puissance
qui dirigeait les lieux d'une main de fer. Le dragon s'arrêta à quelques pas d'eux et le
messager en descendit et se dirigeât vers Ekodas.
- Ça faisait longtemps, Messager de Lloth.
- J'ai quitté Lloth il y a bien longtemps, Belem. Je suis à la recherche de quelqu'un.
- Tu cherche le propriétaire de l'étrange aura que nous avons tous ressentis non? Je ne peux
te dire qu'une chose: abandonne.
- Il est derrière la Tour c'est ça? Ce n'est pas un problème.
- Je t'ai apporté tes armes, bonne chance.
Ekodas avait trouvé Belem lors d'un de ses passages. Il l'avait soigné car il voyait en
lui un utile allié. Belem lui tendit deux lames.
blanc, qui gelait la cible à l'extérieur et la brulait à l'intérieur.Toutes deux des lames
démoniaques ne pouvant être utilisées que derrière la Porte, et d'une incroyable
puissance. Le doux guérisseur venait de se transformer en guerrier impitoyable. Et sa
puissance magique ne cessait d'augmenter. Ils en auraient besoin. Un champion chez
les humains ne serait que quelqu'un d'ordinaire ici. Ekodas se tourna vers Medar.
- Vous n'êtes pas le seul à changer ici. Notre cible est derrière la Tour. Pour l'atteindre, il
faudra franchir l'étage de la Tour qui se situe au niveau du sol. Le 73e, si je me rappelle bien.
Il y à autant d'étage en dessus du sol qu'en dessous. Si je me rapelle bien, c'est l'étage des
nécromanciens. Le franchir va être assez difficile, mais je suppose que ça ne vous gêne pas.
Belem venait de partir. Ekodas lui fit un signe de la main.
- Je propose de partir maintenant. La Tour est assez loin, et il y à pleins de trucs marrants et
puissants entre elle et nous.
Le guerisseur mourrait d'envie de se battre, et il ne le cachait pas.
longtemps qu'il ne l'avait pas franchie.La Porte le reconnaissait. Pas étonnant, il
l'avait franchie tant de fois. Chez les Grands Prêtres, c'était lui qui était chargé de la
franchir, soit pour récupérer des évadés, soit pour y chercher de nouvelles troupes
pour Lloth.Derrière la Porte, il avait ses marques.Et derrière la Porte, il avait ce qu'on
pourrai appeler des amis maintenant. Il avait maintes fois permis à des âmes de
passer, pour se réfugier dans un monde certes noir, mais qui valait bien mieux leur
ancien monde. Avec un sourire, il franchit la Porte.
Depuis le temps, rien n'avait changé. Une immense plaine rocailleuse, un ciel noir, pas
de vent, et d'étranges créatures passant. Aucune ne faisait attention aux nouveaux
arrivants. Et aufond, si loin qu'elle semblait être un mirage, une tour. 121 niveaux
officiels. Là où logeait toute la ''monarchie'' démoniaque des Limbes.Passage obligé
pour atteindre les terres situées derrière.
L'aura avait disparu. Leur cible avait sans aucun doute sentit leur arrivée et caché sa
présence. Une immense forme s'approchait d'eux. Ekodas eut un sourire amusé.
C'était un dragon, un dragon squelette monté par un cavalier dont l'aura démentait
son apparence humaine. Il s'agissait d'un démon dont la puissance , pourtant assez
impressionnante, n'était rien ici. Il n'était qu'un ancien messager de la Toute Puissance
qui dirigeait les lieux d'une main de fer. Le dragon s'arrêta à quelques pas d'eux et le
messager en descendit et se dirigeât vers Ekodas.
- Ça faisait longtemps, Messager de Lloth.
- J'ai quitté Lloth il y a bien longtemps, Belem. Je suis à la recherche de quelqu'un.
- Tu cherche le propriétaire de l'étrange aura que nous avons tous ressentis non? Je ne peux
te dire qu'une chose: abandonne.
- Il est derrière la Tour c'est ça? Ce n'est pas un problème.
- Je t'ai apporté tes armes, bonne chance.
Ekodas avait trouvé Belem lors d'un de ses passages. Il l'avait soigné car il voyait en
lui un utile allié. Belem lui tendit deux lames.
- Spoiler:
blanc, qui gelait la cible à l'extérieur et la brulait à l'intérieur.Toutes deux des lames
démoniaques ne pouvant être utilisées que derrière la Porte, et d'une incroyable
puissance. Le doux guérisseur venait de se transformer en guerrier impitoyable. Et sa
puissance magique ne cessait d'augmenter. Ils en auraient besoin. Un champion chez
les humains ne serait que quelqu'un d'ordinaire ici. Ekodas se tourna vers Medar.
- Vous n'êtes pas le seul à changer ici. Notre cible est derrière la Tour. Pour l'atteindre, il
faudra franchir l'étage de la Tour qui se situe au niveau du sol. Le 73e, si je me rappelle bien.
Il y à autant d'étage en dessus du sol qu'en dessous. Si je me rapelle bien, c'est l'étage des
nécromanciens. Le franchir va être assez difficile, mais je suppose que ça ne vous gêne pas.
Belem venait de partir. Ekodas lui fit un signe de la main.
- Je propose de partir maintenant. La Tour est assez loin, et il y à pleins de trucs marrants et
puissants entre elle et nous.
Le guerisseur mourrait d'envie de se battre, et il ne le cachait pas.