Empire d'Eternia

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    L'Arène

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    Message par ombretueur Jeu 30 Déc - 20:35

    Le Gardiens de l'Arène jurait et pestait tout en ouvrant les portes de l'Arène. Assez grande pour contenir la moitié de la population de la Capitale, elle venait tout juste d'être reconstruite. Après en avoir vérifié le bon fonctionnement et réveillé ses deux aides qui roupillaient à coup de pieds, il les envoya chercher deux messagers qui partirent ensuite annoncer à la ville l'ouverture de l'Arène et le prochain combat. En attendant, le Gardien prépara quelques activités qui occuperait le public si le combat n'avait pas lieux. Il lui tardait déjà d'y être pour voir la tête du peuple quand il verrait le combat d'ouverture, avant celui du Prince. Le combat de la Régente Ombretueur avec les vautours, ceux qui avaient demandé le trône pour assouvir leur soif de pouvoirs, tout ceux qui s'étaient présentés alors qu'ils n s'étaient battus dans aucune des deux guerres. Et vu leur nombre, l'ouverture de l'Arène allait être mouvementée. Il était le seul à le savoir et priait pour que Caïus ne l'apprenne pas.
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    Message par ombretueur Lun 3 Jan - 14:13

    - Ils sont tous là. Bien. va chercher les prisonniers. Tu attendra la fin de mon discours pour les faire entrer.
    - Je vous ai fait poser une estrade au milieu de l'Arène. 10 hommes seront là pour l'enlever au moment du duel.
    - Que la fête commence.

    Tout ceux qui avaient put venir ce massaient dans l'Arène. Le peuple d'Orkandia grondait telle la marée, impatient de voir ce qui allait se passer. Tous les personnages importants avaient étés conviés à s'installer dans le dôme, une place en hauteur des plus confortable et couverte. Quand Ombre s'avança sur le sable de l'Arène, elle sentit le regard de son aimé posé sur elle. Il avait laissé la place d'honneur à Ellianne, il avait l'air soucieux, comme si il se doutait de quelque chose. Ombre monta sur l'estrade avant de s'adresser à son peuple.

    - Je vais vous annoncer une importante nouvelle... je retire ma candidature au poste d'impératrice. cela fait qu'il ne reste plus qu'un prétendant, tous les autres ayant trahi ou s'étant désistés. Et je vous annonce que je porte un total soutient à ce dernier prétendant. Elle est une amie, une soeur, et sans elle nous n'aurions jamais repoussé les troupes de Lloth. Je parle bien sur d'Ellianne d'Alwinion. C'est peut être une petite peste à des moment, mais elle est bien plus apte que moi à régner. Alors je te demande, peuple d'Orkandia, de lui donner ton coeur comme tu m'as donné le tient. je ne te demande pas de faire ça maintenant. Le vote se fera à la fin du petit spectacle que je vous ai concocté.Ombre descendit de l'estrade, et les 10 hommes l'emportèerent hors de l'Arène. La porte mennant aux geôles de l'Arène s'ouvrit et 50 hommes entrèrent, escortés par la Garde, accompagnés par l'assassin. Les Gardes détachèrent les hommes avant de partir. Sur le sol de l'Arène se trouvaient maintenant 50 hommes armés, l'assassin, et Ombretueur, armée de ses deux épées. Sur l'estrade située en dessous du dôme s'avança le gardien de l'Arène.

    - Voilà le moment que vous attendiez tous! Ces hommes sont des vautours. Ils ont volés les armes de guerriers morts pour se faire passer pour eux et pouvoir ainsi prétendre au trône. Mais notre clairvoyante régente à percer leurs tours et aujourd'hui devant vos yeux, ils vont être punis. Tenter d'usurper le trône est punis de mort. Et c'est donc un combat à mort qui se déroulera sous vos yeux.

    La foule hurla sa joie. En bas, Ombre inspirait profondement.

    - Vous avez déjà sans doute deviné qui allait exécuter la sentence. Je parle bien sur de la Régente Ombretueur, et de son assassin. Que le combat commence.

    ''Bon sang mais qu'est-ce qui ma pris! Tssss.'' Les 50 hommes avaient tiré leurs armes. Ils se séparèrent en deux groupes. 30 s'avancèrent vers Ombre, les autres vers l'assassin. Leur air sur d'eux fit sourire Ombre. les mains de l'assassin bougèrent, 4 poignards volèrent, 4 hommes tombèrent, un poignard fiché entre les deux yeux. seuls cinq hommes attaquèrent Ombre. Au moment ou ils frappaient, elle tira ses épees, passa sous la garde des deux hommes les plus proche et leur transperça le coeur. Elle évita un coup d'épée, égorgea un homme, para un coup avant de trancher la main du quatrième et décapiter le cinquième. Le combat vennait de commencer, il y avait déjà 9 morts. Les 25 hommes attaquèrent en même temps. Les 16 qui retsaient à l'assassin firent de même. ''Ils sont vraiment nul. Mais nombreux, ça va être long.''

    Il faisait chaud, l'air était lourd. Elle n'était pas blessée mais la fatigue se faisait sentir. Il ne lui restait que neuf adversaire. Elle ne savait pas depuis combien de temps elle se battait, ni si l'assassin s'en été tiré. En bref, Ombre commencait tout juste à s'inquiéter. Deux restaient en retrait. Elle avait bien deviné qu'ils seraient les plus durs à tuer. Elle se tourna, le temps de voir une épée plonger sur sa tête. Elle la fixait, incapable de bouger. Elle réagit trop tard. Le coup n'arriva jamais. L'homme qui l'avait menacée mourut avant d'avoir le temps de finir son coup. L'assassin se plongea dans la bataille. Sept s'attaquèrent à lui. Les deux derniers s'avancèrent cers Ombre.
    '' Enfin. Il est temps de finir se combat.'' L'un avait une épée large qu'il tenait à deux mains, l'autre une épée courte dans une main et un poignard dans l'autre. Ils attaquèrent. Elle ne se serait pas apperçu qu'elle avait été touchée si elle n'avait pas sentit la douleur. L'homme à l'épée large avait frappé. L'autre avait profité de l'occasion pour lancer son poignard. Ils formaient un parfait duo. Un l'occupait pendant que l'autre frappait. Et ils frappaient vite, et fort. Les lames volaient dans le sable de l'Arène, le bruit des épées qui s'entrechoquaient couvrait jusqu'au murmure de la foule. Ombre n'arrivait qu'à parer et esquiver, sa blessure au bras droit était profonde et l'handicapait. L'assassin abandonna ses épées dans le corps d'un des hommes et tira deux poignards. Trois hommes périrent. Il n'en restait qu'un. Un qui regardait bouche bée le combat qui se déroulait devant lui. Les épées volaient tellement vite qu'elle semblaient faite de lumière et non d'acier. Il était clair que le combat durerait jusqu'à que quelqu'un s'éffondre de fatigue. L'assassin ne pris pas de gants, il égorgea l'imprudent qui lui tournait le dos.

    '' J'en peux plus. '' Trois heures qu'elle se battait contre les mêmes adversaires, trois heure que deux hommes lui tennaient tête. L'homme à l'épée large pennait, l'autre était bléssé au bras. Quand à elle, son bras bléssé l'avait lâché une heure avant. '' Bon, c'est pas que, mais je commence à en avoir marre.'' ce fut rapide. Elle se servit de son bras bléssé pour parer un coup. L'épée butta contre l'os et se coinça. L'homme à l'épée courte périt égorgé. Le dernier homme lui sourit avant de se laisser tomber sur son épée. le combat été terminé. Ombre se laissa tomber au sol. L'assassin se laissa tomber à coté d'elle. Ombre déchira une bande de tissus de la veste d'un mort pour s'en entourer le bras. Le Gardien avait laissé le peuple sortir. Les Orkandiens allaient voter. La future Impératrice allait être nommée. Ombre s'appuya sur le dos de l'assassin.


    - C'était chaud hein.
    - Mais divertissant. Il regarda les silouhettes qui descendaient du dôme et se dirigeaient vers eux. Mais la suite va être bon marrante.
    - Oh merde, Caïus va me tuer.
    - Comment va ton bras?
    - Je ne le sens plus.
    - Pareil pour ma jambe. J'ai un bout d'épée planté dedans.
    - On en fait une belle, de bande d'éclopés.
    - Mais on à réussi. Il ne reste plus qu'à attendre.

    Le regard d'Ombre se tourna vers Caïus. Il semblait si loin. Elle ferma les yeux et attendit.
    Lupus
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    Message par Lupus Lun 3 Jan - 16:00

    Jusqu'à ce que les combattants s'avancent vers leurs deux adversaires, Caius était resté, bras croisés et yeux bleus fixés sur son ange, à grommeler et pester. Quelle tête de mule ! Il coula un regard vers Ellianne.

    "Bon, nouvel objet de bagarre avec Juju: quelle est la plus casse-pied de nos douces respectives ?"

    Caius grimaça en reportant son regard vers Ombre. Il se mit à grommeler à nouveau, un peu blanc.

    Après une suite de véritables exécutions, le jeune homme eut de quoi blêmir vraiment. Les deux hommes qui s'étaient tenus en retrait jusque-là, et dont il n'était, semble-t-il, pas seul à se méfier, venaient de s'élancer contre Ombre. Le sang coula: Caius bondit sur ses pieds, les mains agrippées sur au muret de l'arène. Il ne pu que murmurer, avec une certaine fureur:


    - Quelle folie, quelle folie... Ellianne, si tu es mêlée à ce spectacle, je te jure que je ferai en sorte que tu regrettes ça !

    Au cours des heures suivantes, le jeune lorrain resta tendu et debout, fixant Ombre. Elle perdit peu à peu l'usage de son bras...et après trois heures, elle finit par le sacrifier pour arrêter le combat.
    Caius n'était pas métamorphe, mais à ce spectacle, il se serait volontiers roulé en boule pour piauler. Quand le combat fut enfin finit, il respira enfin, par saccades, comme s'il était resté en apnée durant tout le combat. Il lâcha le rebord en pierre, et ses membres se mirent aussitôt à trembler. Mais il ne s'en occupa pas: presque chancelant, il se rua dans l'arène d'un bond, et courut vers les deux combattants, tandis que le peuple sortait, tout excité.

    Enfin, il arriva auprès de l'assassin et d'Ombre, et ralentit jusqu'à arriver à leurs côtés. Toute la fureur contenue en lui sembla fondre, et c'est presque en gémissant qu'il demanda:


    - Mais pourquoi t'as fait ça ? Sang noir ! La régente qui exécute elle-même des imbéciles ! Tu crois ça marrant ?

    Les mains de Caius tremblait, sans qu'il s'en rende compte. Il prit avec douceur le bras d'Ombre.

    - Mille tonnerres ! J'étais mort de peur ! 'Va falloir te soigner ça ! D'ici que tu ne puisses plus utiliser ce bras, y'a pas loin !

    Il regarda l'assassin.

    - Et vous la jambe ! Par les barbes de tous les nains du Mild'or et des Monts Brumeux ! Y'a des exécutants, pour ça ! J'pouvais même te filer facilement quelques-uns des hommes de tonton, sang de dragon ! Voire participer moi-même, si ça pouvais te faire plaisir: j'ai deux mains gauches à l'envers, sauf concernant l'épée !

    Il secoua la tête, désespéré, et lâcha le bras d'Ombre, les mains toujours tremblante.

    - T'es vraiment folle, et le pire c'est que je t'aime aussi pour ça ! Je dois l'être au moins autant que toi !

    Les lèvres roses tracèrent un sourire léger sur le visage pâle du jeune homme. Il se tourna et présenta son dos.


    - Bon, montez, vous ! Z'avez protégée ma tendre, je vous dois bien de vous mener à l'infirmerie; et à grand train, encore ! Et toi, chérie, comme tu peux marcher, 'faudra que t'y ailles à pied, je crois !
    Ellianne
    Ellianne


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    Message par Ellianne Mar 4 Jan - 3:01

     « L’infirmerie ! Naméo, ça va aller la fixette familiale sur les infirmeries ! On est de retour en Orkandia j’te rappel, fichu âne bâté de Lorrain, tu crois pas que je vais laisser ma propre belle-sœur se faire soigner par ces bras cassés ! »

    Ellianne avait contemplé le « spectacle » des heures durant, impériale dans sa robe de prime abord simple mais de la meilleure facture, les fils d’ors de son habit pourpre formant des motifs runiques anciens. Elle avait laissé échappé quelques exclamations de temps en temps, et avait intérieurement maudit Ombre un bon millier de fois pour sa folie. Mais que diable allait-elle faire dans cette Arène bon sang ! Une Régente n’avait rien à fiche sur le sable. Elle aurait dû envoyer des Champions, comme il seyait à une dirigeante, elle aurait même pu lui en prêter quelques-uns. Grorg déjà, et puis elle aurait pu aller piocher dans les Légions Phénix qui n’étaient pas encore reparties vers leurs antiques résidences depuis la Bataille d’Etemenorkia. Ils avaient leur propre Champion, et si ça suffisait pas aussi d’autres monstres en réserve. Ou elle aurait pu envoyer les Guerriers d’Argent, c’étaient justes des sal’tés d’armures vide animée elle ne savait même pas exactement comment !

    En tous cas, Ombre n’aurait pas dû y aller, et si elle avait su ce que la Drow préparait elle ne l’aurait jamais laissé faire !

    Ce qui expliquait sans doutes, Ombre la connaissant après tout fort bien, qu’elle ne les ait prévenu tous les deux Caïus et elle, que bien trop tard, et par messager. Elle n’avait eût que le temps d’enfiler une tenue appropriée, et pas celui d’intervenir. Et quand elle avait lu « je combattrais », elle avait cru que ce serait avec plus de renforts que ça !

    Et donc, elle n’avait rien pu faire. Elle avait assez de sens politique, ou plutôt Servarion, dans sa tête, avait ce qui manquait, pour profiter de l‘occasion offerte pour afficher une attitude capable de lui gagner l‘adhésion du peuple : digne et royale, mais laissant échapper des éclairs d‘inquiétudes. Éclairs tout ce qu‘il y avait de plus authentiques d‘ailleurs, puisque plusieurs fois elle dû se retenir de ne pas se dresser de son siège pour lancer un autre genre d‘éclairs sur les adversaires de sa très chère belle-sœur. Elle se demanda presque distraitement, à un moment, s‘ils réalisaient ce qui leur arriverait vraiment s‘ils lui faisaient du mal. Ombre leur avait peut-être promis la liberté, ils auraient dans le meilleur des cas, pour eux s’entend, une douloureuse mort par exécution, et dans le pire une lente, lente agonie sur ses tables de tortures. Lente, longue et très, très, très douloureuse. Elle y veillerait personnellement. Elle irait même chercher les pires sadiques qu‘elle connaissait !

    Mais Ombre avait fini par s‘en sortir, et alors que le Peuple partait voter - pour elle, elle restait seule candidate, et pas vraiment pas hasard - elle s’était hâtée de descendre dans l‘Arène à la suite de Caïus. Arrêtée par des Gardes qu‘elle avait dû diriger aux bons endroits pour la suite des événements, et prenant un groupe avec elle, elle arriva donc juste à temps pour empêcher Caïus de partir, accompagnée de sa fidèle dame de compagnie, Ilvania Ulvilienne, l‘Elfe.


     « On dirait que je passe ma vie à soigner des gens dans cette Arène, avec toi impliquée dans l’histoire. Et fait mentir le proverbe qui dit « jamais deux sans trois », s’il te plaît. Ne me refais jamais un coup pareil ! Et toi Caïus laisse les où ils sont ! »

    Arrivée au niveau des blessés, elle les examina rapidement d’un œil critique, en spécialiste de la Magie lumineuse qui était celle du soin. D’un geste, elle désigna l’assassin toujours à terre.

     « Ilvania, tu as tes baumes je supposes ? »

    « Bien entendu, ma Dame. Je me les suis fait porter pendant l’affrontement en prévision d’une telle issues aux combats qui faisaient rage. »
     
    « Bien, parfais, occupe-toi de ce type. Soldats, aidez-là. Sauf vous et vous, là, vous venez avec moi vous occupé de madame la future Dauphine, qui était sensée ne PAS mettre sa vie inutilement en danger. Diable, si tu ne le fais pas pour moi ou pour Caïus, fait le au moins par devoir Ombre ! »

    Alors que l’Elfe opérait, ôtant la lame puis s’occupant de la plaie avec l’aide des Impériaux, chantonnant un chant de guérison qui s’harmonisait avec les herbes et cataplasmes qu’elle lui faisait, Ellianne s’agenouilla près d’Ombre. Ne jamais s’accroupir.
     
    « Ca va faire mal, et je n’ais pas le temps de couper la douleur si je veux sauver totalement ton bras. Alors sert les dents. Vous, vous la tenez, vous, vous maintenez son bras. Tout de suite ! »


    Son autorité de future Impératrice c’était de la gnognote en comparaison de son autorité de Guérisseuse. Avec des gestes habiles et précis, elle ôta le chiffon en grommelant des mots peu amènes à propos de certaines personnes qui feraient bien de prendre des leçons d’hygiènes auprès de certaines autres, puis enleva la lame d’un coup, sans faillir. Elle n’abima pas plus son os ou ses tissus, mais déclencha une véritable déferlante de douleur. Elle libéra alors le sortilège soignant qu’elle avait concocté tout en accomplissant le reste, créant une aura lumineuse qui l’entoura ainsi qu’Ombre, ses yeux rouges brillants d’une lumière sourde.

     « Ne bouge pas. C’est maintenant que ça commence à faire mal, mais si tu bouges ça risque d’être pire. Vous deux, empêchez-la d’ailleurs ! »

    Commença alors la phase de guérison où, au sein du halo de plus en plus blanc, elle lui reconstruisit le bras, reformant les tissus sous l’action magique, les cellules s’assemblant à nouveau comme au part avant, jusqu’à ce que le bras soit comme neuf. De son côté, Ilvania avait fini de stabiliser la blessure de l’assassin, qui ne se dégraderait plus et guérirait lentement si on ne faisait rien. Dissipant sa Magie, Ellianne tapota son œuvre doucement.

     « Ton bras va être totalement engourdis encore un moment, tu devrais l’avoir retrouvé complètement demain. Caïus, tu ne la lâche pas, tu veilles à ce qu’elle ne fasse pas d’autres bêtises aussi monumentale. »

    Elle poussa un soupir fatigué puis sourit doucement, avant de tourner son regard vers l’assassin, auquel Ilvania donnait maintenant une potion.

     « Vous, là, ce truc vas vous aider à récupérer. Je ferais venir les meilleurs mages de l’Empire pour vous guérir, vous avez sauvé la vie de cette imbécile qui est comme ma sœur. Pour l’instant, repos. Si je vous vois hors de l’infirmerie je vous assomme à coup d’éclairs ! »

    Alors que deux soldats le saisissait le mieux possible et l’emmenait dans l’infirmerie, elle s’assit par terre, et sa Dame de Compagnie lui tendit une autre potion, qu’elle reconnu comme un remontant, et qu’elle avala avec joie, histoire de reprendre de l’énergie pour le reste de la journée. Pour son triomphe. Elle avait fait se retirer ses adversaires, par divers moyens, elle avait distribué des vivres aux gens, elle avait soudoyé un tas de monde. Elle sourit à l’Elfe.

     « Merci. »

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